Nous en étions là, quelque part à ressasser la nostalgie estivale.
Alors on continue ! En musique toujours.
Alors on continue ! En musique toujours.
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Lorde - Royals : Pendant mon séjour californien j'ai eu l'opportunité, un samedi soir de juillet, d'aller profiter des joies de la night life de là-bas.
Nous étions 4 meufs : ma new yorkaise de copine et ses cheveux "blond
californien", une amie à elle typée asiatique (d'origine Coréenne je crois), une autre amie (libanaise
d’origine), et moi avec mon accent frenchy. Autant vous dire que les autres nénettes n'avaient aucune chance ce soir là. Sauf qu'on était là pour s'amuser et que 2 d'entre nous étaient quasi mariées. Ainsi, arrivées
sur le toit d'un hôtel de Santa Monica, après avoir séduit le videur
d'un sourire et de mon plus bel accent pour qu'il nous laisse rentrer
(non je n'avais pas de pièce d’identité sur moi mais Dude,
sérieux, j'ai l'air d'avoir 21 ans ?), j'ai pu expérimenter la vraie
Girl's Night Out. Celle de là bas. Les meufs parlaient super fort, on
n'avait pas encore bu qu'on nous aurait crues déjà au 7ème verre, on
dansait là où ce n'était pas prévu pour, et on n'allait jamais toute
seule aux toilettes. Les 10 premières minutes ont été rudes pour ma réserve naturelle. Et puis je
me suis souvenue qu'à Rome on s'habille comme les romaine (et que je ne
connaissais personne). Alors moi aussi j'ai rigolé trop fort, lancé des
Wooooooou trop expressifs devant des mecs trop démonstratifs avant de
partir en rigolant avec mes copines.
C'était pas moi !
C'était une autre...
Et c'était cool.
La première chanson entendue dans le premier bar était celle là. Le reste de la soirée s'est déroulée de toute façon sur des tubes qui avaient bercées leur adolescence de là bas. Hors il y a 15 ans ce qui était tendance chez eux n'arrivaient chez nous que trop tard. Donc je serais bien incapable de vous en dire plus sur la musique de cette soirée.
C'était pas moi !
C'était une autre...
Et c'était cool.
La première chanson entendue dans le premier bar était celle là. Le reste de la soirée s'est déroulée de toute façon sur des tubes qui avaient bercées leur adolescence de là bas. Hors il y a 15 ans ce qui était tendance chez eux n'arrivaient chez nous que trop tard. Donc je serais bien incapable de vous en dire plus sur la musique de cette soirée.
You can call me queen Bee
And baby I'll rule, I'll rule, I'll rule, I'll rule. Let me live that fantasy - oooh oooh...
- Leslie Clio - I Couldn't Care Less : Découverte de ce printemps là encore. La petite meuf blondinette a une voix groovie que
j'aime beaucoup, cachée derrière un physique un peu fluet. Si j'osais j'irais jusqu'à pousser qu'elle sonne un peu sixties à mes oreilles. Son album Gladys vaut franchement le coup. Y a une belle énergie
derrière les paroles, une belle énergie qui fait du bien.
I couldn't care less That's all I care about - Et ça ! Ça valait d'être dit.
- The Lone John Harps - Learn About The Days : Impossible de vous mettre un lien vu que le jeune homme traine (et travaille dur, mais c'est accessoire) pour
sortir son deuxième album. J'ai néanmoins eu la chance de déjà
l'entrapercevoir, l'entrécouter. Un album qui aurait pu être la B.O. de
mon épopée australienne, et comme je n'ai pas boudé mon plaisir de
retrouver quelques sensations oubliées devant les vagues de Venice, je
n'ai pas boudé mon plaisir non plus d'y mettre sa musique sur quelques
images de vacances. On en reparlera plus tard quand le résultat sera
propre, net et disponible à toi public.
It's only up to me to find out what could be found - Ne tient qu'à moi...
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Bill Medley & Jennifer Warnes - (I've Had) The Time of My Life : Ce
morceau vaut
- pour la vidéo qui va avec,
- pour une soirée à Hossegor où c'est Sandy DJ set qui a pris les commandes avec pour unique objectif de nous faire kiffer (j'ai des amis géniaux),
- pour ce moment partagé entre meufs (+ un mec qui s'était perdu, là, se marrant pas qu’intérieurement je crois, à nous écouter hurler les paroles très fort et très faux).
'Cause I've had the time of my life
and I owe it all to you - .... Et à toi aussi !
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La Femme - Nous étions deux : Il était temps que je pose un peu plus de
français car je suis en train d'exploser les quotas. Drôle de voir
comme les gouts évoluent vu qu'il y a quelques années les 3/4 de ce que
j'écoutais étaient francophone. Mais voilà, dur de trouver des trucs un
peu nouveaux et un peu funkys dans la langue de Voltaire. Je connais très
mal La Femme. Et c'est toujours pendant cette même soirée là bas dans le
sud ouest que j'ai découvert un peu plus.
J'ai dit oui à son ennuie - Pourquoi pas ? Chacun ses raisons.
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Lescop - La forêt : Un peu comme La Femme, même méconnaissance, même
enchantement de trouver du français qui sonne, même soirée, mêmes
souvenirs.
Sourires crispés, situation compliquée Je sens ton souffle qui me frôle le cou - Que dire de plus ?
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Chet Faker - I'm into you : Tout tout récent comme découverte. Un australien
de 26 ans bien planqué derrière sa barbe de vieux loup de mer. Je kiffe
bien le garçon (sa musique). J'aime ses rythmes, ses samples, son côté
acoustico/électronique, et je vais arrêter là parce que je vais pas
trop me la raconter connaisseuse. Ça à fait tilt au moment M. Et comme
une douce transition, c'est plutôt bien représentatif de la mood
actuelle, celle qui me porte vers ces premiers jours d'automnes.
Une des plus jolies chansons que j'ai écouté ces derniers temps... Et c'est pas peu dire.
Une des plus jolies chansons que j'ai écouté ces derniers temps... Et c'est pas peu dire.
The shit we do could warm the sun - Vantard.
S'ils
me lisent, mais rien n'est moins sur, j'ai quelques personnes dans mon
entourage qui sont la source de pas mal des morceaux de cette playlist. Et c'est souvent
comme ça : de rencontres en discussion je nageotte dans l'énorme océan
qu'est l'industrie musicale aujourd'hui, tout en prenant en pleine face
quelques grandes vagues commerciales.
Un peu comme quand j'entre dans une librairie et où je suis frappée par l'abondance de mots, d'auteurs, de livres, d'éditions, le monde la musique est une jungle de bruits, de sons plus ou moins bons, de talents qui peinent à se faire voir. Et le parallèle n'est pas anodin.
Derrières ces morceaux il y a des artistes, surement, mais pour moi il y a surtout des moments, des souvenirs, des gens. Et moi.
L'été 2014 fut un bel été avec moi même.
Un peu comme quand j'entre dans une librairie et où je suis frappée par l'abondance de mots, d'auteurs, de livres, d'éditions, le monde la musique est une jungle de bruits, de sons plus ou moins bons, de talents qui peinent à se faire voir. Et le parallèle n'est pas anodin.
Derrières ces morceaux il y a des artistes, surement, mais pour moi il y a surtout des moments, des souvenirs, des gens. Et moi.
L'été 2014 fut un bel été avec moi même.
D'une façon générale je n'aime pas l'automne dont
l’intérêt est très limité (pluie, journées courtes, pas encore Noël et
le bronzage parti) alors il a intérêt à assurer grave cette année !
PS: pour les fan de dirty dancing, une scène coupée au montage en cadeau.
Chocking!
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